Max Payne 2: The Fall of Max Payne

Les plus

• L’ambiance soignée

Les moins

• Jouabilité faible

Sorti en 2003, Max Payne 2, sous-titré ‘La chute de Max Payne’ (tout un programme… à raison !) amène la saga à un niveau plus qu’excellent, avant l’arrivée (très) tardive du 3e opus, presque 10 ans plus tard…

Avec ses graphismes excellents, qui ont le talent certain de bien vieillir, l’ambiance noire et sombre, à la limite du glauque tout en étant bien étudiée et bien soignée, et le game play amenant des originalités et effets particulièrement racés (les effets de ralentis lorsqu’on tire à l’arme à feu, appelés ‘bullet time’, sont de toute beauté), Max Payne 2 : The Fall of Max Payne est définitivement un must have et un must play.

L’aspect roman noir de Max Payne 2 est amenée sous une forme proche du roman graphique, où l'ex-flic new-yorkais cherche à se venger dans une ambiance se rapprochant de comics américains à l’ambiance glauque du type de Sin City. Max Payne devient ici détective privé pour pouvoir se venger de ceux qui ont tué sa famille… Si l’histoire de base n’est pas follement originale, l’atmosphère et le développement sont excellents.

Vous découvrez ici la démo, comprenant le prologue et les trois premiers niveaux, juste ce qu’il faut pour se plonger dans l’action et vouloir la suite ! Max Payne se réveille dans un hôpital, en sang, et doit se tirer de là, mais les ennemis ne l’entendent pas de cette oreille : l’ouverture est un pur concentré d’action.

Le bullet time montre vite son intérêt : ralentissez l’action et liquidez vos ennemis! Le point de vue ‘normal’ est plus basique et moins plaisant…

Pour

• Bullet time !!!

Les plus

• L’ambiance soignée

Les moins

• Jouabilité faible